Je vous rassure tout de suite : mon client continue de dépenser ses pétro-euros[1], et je ne suis pas désœuvré.
Le risque de me retrouver à la chôme dans les mois à venir n'est pas nul, mais pas suffisamment élevé pour que j'ai quelque inquiétude à ce sujet.
Du moins pour le moment.
Non, si je subis la crise, c'est indirectement.
En voulant ce matin prendre des nouvelles de mon futur chez-moi qui n'avait pas l'air d'avancer, j'ai appris que le promoteur avait fait faillite.
Une raison valable, ma foi, pour que les travaux aient été suspendus peu après leur démarrage.
Bon, ce n'est certes pas la fin des haricots, la banque qui avait financé le projet du côté du promoteur va légalement devoir reprendre et finir le boulot.
Mais reste qu'en cette saison, l'écureuil traîne un peu des pattes, vu qu'il a déjà perdu quelques noisettes durant l'automne.
Résultat des courses : 6 mois de retard supplémentaires.
Au mieux.
Quand j'ai signé un acte de vente en l'état futur d'achèvement, je pensais que l'achèvement faisait référence au bâti, pas au signataire ... :-(
Notes
[1] Bon, il commence à les compter un peu désormais.
1 De Cédwic -
Reviens Léonnnn !!! :D
2 De Gaël -
C'est assez tourmenté cette histoire d'immeuble !
Il y a des chances que les 6 mois de retard soient un minimum ...
J'imagine que la banque ne dédommage pas tes futurs loyers supplémentaires en plus ...
Cela ne te donne pas la possibilité de te retracter sans y laisser des plumes ?
Surtout que l'on commence à parler sérieusement de soldes à venir sur l'immobilier neuf qui ne se vend plus ...
Bon courage et à plus !
3 De paula -
Je dirais bien comme Cédwik, mais on ne pense pas à la même ville ;-).
Bis amigo.
4 De le NoNo -
Y a Montaigu entre Nantes et Niort !!!!!!
Good luck (je t'appel ce WE)